Le recap de la semaine / NatBad - Numéro #16

Tout ce que vous avez manqué, ou pas, cette semaine…

BUZZ

Poparazzi

Un nouveau réseau social anti-selfie en tête de l’App Store.

Cette nouvelle application qui se veut un anti-Instagram où ce n’est pas l’utilisateur qui publie des photos de lui-même sur son profil, mais ses amis. La plateforme entend ainsi mettre fin à la pression de la perfection dictée par les autres réseaux sociaux dans le but de partager des moments plus «authentiques» avec des amis... https://www.poparazzi.xyz/

CERVEAU

Les enfants qui ont grandi avec une addiction à Pokémon disposent désormais d'un Pokédex neurologique, affirme une nouvelle étude.

Une équipe de l'université de Californie à Berkeley a fait passer des IRM à onze individus qu'ils présentent comme « experts Pokémon ». Tous ont joué à Pokémon sur Gameboy entre les âges de 5 et 8 ans dans les années 90. L'imagerie a révélé que tous les sujets sollicitaient une circonvolution cérébrale précise, le gyrus occipito-temporal, pour se souvenir de Pokémon spécifiques. En savoir plus...

Cybercinétose : passer trop de temps derrière un écran peut nous rendre malade.

La cybercinétose, ou mal de la réalité virtuelle, ne touche plus uniquement les utilisateurs de casques VR. En cause : la pandémie, qui pousse notre organisme dans ses retranchements en matière d’exposition aux écrans.

INFLUENCEURS

L'influence des influenceurs.

12 % des personnes interrogées en France dans le cadre du Statista Global Consumer Survey ont déjà acheté quelque chose parce que des influenceurs ou des célébrités en ont fait la promotion. https://bit.ly/3fTUg7R

E-REPUTATION

Quel est l’impact de l’eRéputation sur le business ?

Moteurs de recherche, influenceurs, avis clients... La réputation d'une marque sur le web impacte aujourd'hui très fortement ses performances commerciales... https://bit.ly/3bXbAb1

FAKE NEWS

L'exposition "Fake News : Art, Fiction" réunit des propositions artistiques de tous pays. Elle montre plusieurs visions sur les nouveaux codes qui s'imposent désormais dans nos échanges sur internet et sur la capacité des intelligences artificielles à donner l'apparence de la réalité à des situations inventées.

Du 27 mai 2021 au 30 janvier 2022, Fake News : Art, Fiction est à découvrir à la fondation Edf à Paris et ici.

SHARENTING

Le Wall Street Journal a qualifié cette habitude de "sharenting" ou "partage par les parents", qui publient les vidéos ou les photos de leurs enfants sur les réseaux sociaux.

👉75% des parents partagent des contenus photos et vidéos de leurs enfants. https://bit.ly/34sxS06

TIKTOK

Médecine en ligne sur TikTok.

On connaît les consultations médicales en ligne, les Youtubeurs santé où même les médecins Instagrammeurs. Mais ce qu’on connaît moins, ce sont les professionnels de la santé qui cartonnent sur TikTok. Chacune de leurs vidéos de moins d’une minute peut faire plusieurs centaines de milliers de vues en quelques heures et leur communauté ne cesse de grandir. Pourquoi ça cartonne? Jusqu’à quel point? 

Est-ce possible de se soigner sur TikTok en 2021? “Absolument pas, ni sur TikTok ni sur Internet d’ailleurs. Par contre, pour s’informer, se sensibiliser ou prendre soin de soi, ces comptes s’avèrent de bonnes sources d’information, pour le coup, fiables ! " https://bit.ly/3c1OOyQ

TikTok, accusé de recourir à des publicités déguisées à destination des enfants.

Des produits contre l’acné, des applis de rencontre pour ados, des baskets… Bruxelles veut protéger les enfants des publicités ciblées.https://bit.ly/3uuGdej

BULLE ALGORITHMIQUE

L’expression de bulle algorithmique fait référence au phénomène de sélection des résultats de recherches en fonctions des choix habituels de l’utilisateur.

Conséquence de l’hyper profilage des utilisateurs, la bulle algorithmique n’est que le résultat des stratégies des moteurs de recherche et réseaux sociaux fondées sur le tracking…

Plus de la moitié des Français sont conscients de ces biais algorithmiques.

LIKE IT OR NOT

Instagram et Facebook vont permettre de désactiver l'affichage du nombre de "likes".

Deux ans après avoir entamé les premiers tests d’une fonctionnalité permettant de masquer le nombre de « J’aime » sous ses publications, Instagram vient d’annoncer que celle-ci ne serait pas systématisée. Le choix sera finalement laissé aux utilisateurs qui pourront l’activer, s’ils le souhaitent, depuis les paramètres de l’application.

Masquer ces cœurs et ces pouces en l'air... https://bit.ly/2RMAgw9

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